• Une bouteille de 4 litres en plastique
• De l’eau chaude
• Un sachet de levure
• 1/4 de tasse (65 ml) de sucre
• Une banane très mûre ou un autre fruit mou
• Savon à vaisselle (style Dawn)

Voici comment procéder :

1. Bien laver et rincer votre cruche d’un gallon (4 litres).
2. Remplir la bouteille au tiers avec de l’eau chaude (pas bouillante). On a besoin de l’eau chaude pour faire agir la levure, on est bien conscient qu’elle va se refroidir.
3. Ajouter le paquet de levure et secouer un peu.
4. Ajouter le sucre.
5. Écraser la banane et mettre dans le gallon. Ça se trouve à être ce sucre fermenté qui va attirer les scarabées japonais.
6. Ajouter quelques jets de savon à vaisselle. Ça va les empêcher de sortir de la bouteille.
7. Bien mélanger en secouant.
8. Accrocher en hauteur dans la zone problématique.
9. Les scarabées japonais vont plonger dans le mélange et s’y noyer.

Voici un vidéo (en anglais) d’un gars qui le fait :

1) Arrosage

Donner trop d’eau à vos plants mènera à ce que vos tomates fendent. Les arroser régulièrement, sans trop les inonder aide à prévenir ce problème.

2) Drainage

Assurez-vous que votre sol peut drainer facilement l’eau. Les plants ne doivent surtout pas rester dans l’eau stagnante. Si vous faites pousser vos plants dans des pots, ajoutez quelques roches au fond de celui-ci pour avoir un drainage efficace. 

3) Engrais

Attention de ne pas utiliser un engrais trop riche en azote, car cela fera pousser votre plant trop rapidement. L’intérieur de la tomate poussera trop vite, ce qui fera éclater la peau. 

4) Paillis

Puisque les tomates fendent à cause d’un arrosage trop abondant, mettre un paillis autour des plants permet de garder le niveau d’humidité du sol stable et éviter un « choc » lors de l’arrosage. 

5) Récolte

Assurez-vous de récolter de façon régulière vos tomates. Les laisser après le plant risquera qu’elles fendent. 

1) Maïs

Les plants de maïs fournissent de l’ombre aux concombres et ils aident à prévenir le flétrissement des plants.

2) Haricots et les pois

Les haricots et les pois aident à enrichir le sol et fournissant de l’azote aux plants environnants.

3) Tournesol

Les tournesols font de l’ombre aux plants de concombres qui apprécient et leurs tiges très fermes leur permettent de grimper et de s’en servir comme tuteur.

Autres amis :

Les betteraves, la laitue

Voici quoi planter pour contrôler les insectes nuisibles

1) Radis

Planter quelques radis à la base de vos plants de concombres. Ne les récoltez pas. Cela permettra de combattre le coléoptère du concombre qui est un insecte nuisible.

2) Tagètes (Marigold)

Les tagètes, œillets d’Inde, ou marigold permettent également le coléoptère du concombre et autres insectes nuisibles.

À ne PAS planter à proximité de vos plants de concombres

1) Les pommes de terre

Les pommes de terre et les concombres ont des besoins nutritionnels similaires. En général, les concombres ne poussent pas très bien près des pommes de terre.

2) Melon et courges

Les melons et les courges ont les mêmes besoins nutritionnels que les concombres. De plus,  leurs vignes seront en compétition les unes envers les autres et ils attirent les mêmes insectes.

Vous pourriez affaiblir vos concombres à cause d’insectes qui auraient attaqué une autre cucurbitacée.

Vaporisez les mauvaises herbes avec du vinaigre de cidre de pomme, auquel vous aurez ajouté quelques gouttes de savon à vaisselle. Fini le désherbage à 4 pattes! 

2) Éloignez les fourmis

Mélangez à part égale de l’eau et du vinaigre, dans une bouteille à vaporiser. Vaporisez les endroits où celles-ci se trouvent.

3) Gardez la fraîcheur des fleurs

Plutôt que de mettre vos fleurs dans un simple vase d’eau, ajoutez-y 2 cuillères à soupe (30 mL) de vinaigre et 1 cuillère à thé (5 mL) de sucre. Vos fleurs resteront resplendissantes!

4) Enlevez la rouille des outils à jardin

Faites tremper durant une journée complète vos outils dans le vinaigre. Ils redeviendront scintillants! 

5) Nettoyez le bain d’oiseau

Versez du vinaigre directement dans le bain d’oiseau afin de le désinfecter. Rincer ensuite à l’eau claire et admirez le spectacle des oiseaux qui s’y baignent!

6) Nettoyez les pots à fleurs

Faites tremper vos pots dans un mélange 1 pour 1 d’eau et de vinaigre durant 1h. Frottez et rincez à l’eau claire par la suite. Vos pots seront comme neufs!

7) Éloignez les limaces et les escargots

Dans une bouteille à vaporiser, versez du vinaigre. Aspergez les indésirables et évitez qu’ils ravagent vos belles récoltes!

8) Nourrissez vos plants

Certains plants nécessitent un sol acide pour bien pousser. Mélangez 1 gallon d’eau avec 1 tasse de vinaigre. Si vous sentez que certains plants perdent leur robustesse, vaporisez-les avec ce mélange.   

Il ne faut surtout pas arroser excessivement votre basilic. La terre doit être humide, sans plus. Aussi, évitez d’arroser les feuilles; cela les fera pourrir. 

2) Ensoleillement

Le basilic doit être exposé à l’endroit le plus ensoleillé de la maison. Durant l’été, favorisez son exposition au soleil directement à l’extérieur.

3) Pot

Pour bien pousser, le basilic a besoin de beaucoup d’espace. Si vous l’achetez directement en magasin, n’hésitez pas à le séparer dans plusieurs pots.

4) Engrais

1 à 2 fois par mois, ajoutez un engrais naturel à votre plante. Cela favorisera la production de nouvelles feuilles.

5) Terre

Le basilic est très capricieux quant au choix de la terre. Favorisez une terre riche en éléments nutritifs et non un simple terreau standard.

6) Récolte

Évitez de couper feuille par feuille lorsque vous voulez du basilic. Coupez plutôt une tige complète. 

1. Choisissez votre bouteille en plastique

La première étape consiste à choisir la bonne bouteille en plastique. Si vous devez vous absenter quelques jours, optez pour une bouteille suffisamment grande et pouvant contenir assez d’eau.

Nous vous conseillons de choisir une bouteille de 1,5 L (pour une plante en pot) ou de 5 L (pour une plante en terre). Plus la contenance sera importante, plus elle pourra arroser longtemps.

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2. Coupez le fond de la bouteille

Coupez ensuite le fond tout autour de la bouteille, à l’aide d’un cutter.

Soyez prudent : le rebord peut être tranchant !

3. Percez un trou dans le bouchon

Continuez en perçant un petit trou dans le bouchon à l’aide d’un couteau ou d’un clou. Ce trou va permettre à l’eau de s’écouler progressivement et d’arroser la plante.

Il ne doit pas être trop gros ; à défaut, l’eau s’écoulera trop vite et la bouteille se videra rapidement.

4. Mettez la bouteille en place

Revissez le bouchon. Retournez la bouteille en disposant le bouchon dans la terre. Placez-la proche de la plante, à côté des racines en laissant le goulot accessible.

Elle doit tenir bien en place, même en cas de vent.

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5. Remplissez la bouteille d’eau

Pour finir, remplissez la bouteille avec de l’eau jusqu’en haut.

6. Vérifiez l’arrosage

Avant de partir, vérifiez le bon fonctionnement du système. L’écoulement de l’eau doit être régulier pour pouvoir arroser vos plantes de façon optimale.

Si l’eau ne s’écoule pas suffisamment, agrandissez légèrement le trou dans le bouchon à l’aide d’un ciseau.

1. Disposez un paillage au pied des plantes

Cette astuce est certainement la plus connue et la plus efficace. Disposer un paillage au pied des plantes permet de maintenir une certaine fraîcheur.

Grâce au paillage, la terre reste humide plus longtemps. Vous n’aurez plus besoin d’arroser vos plantes aussi souvent. Comme dit l’adage, « un paillage vaut 10 arrosages » !

Le paillage a aussi d’autres avantages au jardin. Il empêche le lessivage des sols, améliore la qualité de la terre, apporte de la matière organique…

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Vous pouvez utiliser de la paille, des feuilles mortes, de la tonte sèche, des copeaux de bois ou encore du BRF (bois raméal fragmenté). Disposez une couche d’au moins 5 cm tout autour de la plante.

Pour les plantes en pot, préférez le paillis minéral : pouzzolane, ardoises concassées… Ajoutez aussi des billes d’argiles au fond du pot. Grâce à leur action drainante, elles limitent les pertes d’eau et maintiennent l’humidité.

2. Arrosez le soir plutôt que le matin

Si vous le pouvez, arrosez vos plantes en soirée plutôt que le matin. Arroser au bon moment permet de limiter l’évaporation de l’eau et de maintenir l’humidité dans le sol plus longtemps.

En effet, les pertes d’eau sont beaucoup moins importantes pendant la nuit qu’en journée car les températures sont plus fraîches.

Vos plantes seront mieux arrosées et profiteront davantage de l’apport en eau. De votre côté, vous arroserez moins souvent tout en faisant des économies d’eau !

3. Choisissez des plantes résistantes à la sécheresse

Si vous ne souhaitez pas arroser trop souvent, privilégiez les plantes qui résistent bien aux chaleurs et qui ne craignent pas la sécheresse. Évitez les végétaux trop gourmands en eau qui demandent des arrosages abondants et/ou réguliers.

Plantez des aromatiques (lavande, thym, romarin, laurier…), des plantes grasses, cactées, sauges, sedums, pavots… De nombreuses plantes sont capables de résister à la sécheresse et de pousser sans trop d’arrosage. Cela vaut également pour les plantes d’intérieur.

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4. Installez un arrosage goutte à goutte

Vous en avez marre de porter l’arrosoir ou d’utiliser le tuyau ? Pour en finir avec les corvées d’arrosage, l’idéal est d’installer un arrosage au goutte à goutte.

Ce système se charge d’arroser les plantes tout seul. Vous pouvez même y intégrer un programmateur pour arroser de façon automatique, au moment voulu.

L’eau est directement distribuée au niveau des racines. Grâce au goutte à goutte, vous gagnerez un temps précieux et vos plantes seront bien arrosées. Il vaut mieux arroser moins souvent mais mieux !

Son installation à un coût mais elle limite les gaspillages et permet de faire de réelles économies d’eau.

5. L’astuce de la bouteille d’eau renversée

Cette astuce est intéressante pour réduire les arrosages ou pour arroser les plantes en votre absence. Elle consiste à disposer une bouteille d’eau remplie et renversée au pied de la plante. Ainsi, vous créez une sorte de réservoir d’eau qui s’écoule progressivement et vient arroser la plante.

Une fois remplie, placez la bouteille à l’envers. Vous pouvez retirer le bouchon ou le laisser et percer un petit trou. L’eau s’écoulera alors plus lentement.

Bien entendu, cette astuce convient plutôt au petit jardin et si vous n’avez pas beaucoup de plantes à arroser.

Voici l’astuce de la bouteille d’eau renversée en détails

6. Ne désherbez pas à tout prix !

Les sols nus, non paillés et sans herbes, sont plus sujets à l’évaporation. Ils perdent beaucoup d’eau, surtout pendant les fortes chaleurs. Il est inutile de désherber trop souvent car les mauvaises herbes retiennent l’eau et conservent la fraîcheur autour de vos plantes.

Vous pouvez limiter leur développement mais évitez de désherber à tout prix. Les mauvaises herbes peuvent devenir vos alliées pour arroser moins souvent.

1. Les gestes à faire avant de pailler

Avant de disposer votre paillage au potager, certains gestes sont à réaliser en amont. En effet, une fois en place, il sera plus difficile de travailler la terre autour des plantes.

Au moment de la plantation, par exemple, pensez à arroser avant de pailler (et non l’inverse). Ainsi, vous conserverez davantage l’humidité et la fraîcheur au sol. Pour les prochains arrosages, écartez légèrement le paillage au pied avant de le redisposer correctement.

Apportez aussi de l’engrais avant de pailler vos plantes. Il pénétrera plus facilement en-dessous qu’au-dessus du paillis. Enfin, pensez à bien désherber en griffant la surface du sol et à niveler la terre.

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2. Paille, feuilles mortes, BRF… : quel paillage choisir pour le potager ?

On distingue différents types de paillis en fonction de la matière première utilisée. Parmi les plus connus, on peut citer la paille, les feuilles mortes, les écorces et paillettes, la tonte sèche ou encore le BRF (Bois Raméal Fragmenté).

• La paille et les tontes de gazon sèches sont isolantes et conviennent à de nombreuses plantes : petits fruits, courgettes, tomates…
• Les paillettes (de chanvre ou de lin, par exemple) sont idéales pour les salades, les petits pois, les carottes…
• Les feuilles mortes constituent un excellent couvre-sol, surtout en hiver.
• Le BRF, composé de résidus de bois, convient bien aux plantes aromatiques.

Évitez, en revanche, les écorces trop acides comme celles du pin.

Enfin, sachez que le compost peut aussi faire office de paillage. En se décomposant, il apportera des nutriments au sol et aux plantes.

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3. Disposer correctement le paillage au potager

Une fois sélectionné et le terrain préparé, il ne reste plus qu’à disposer votre paillage. D’une manière générale, on conseille d’étaler une couche de 5 à 10 cm d’épaisseur. Pour le compost et les tontes de gazon, 5 cm suffisent.

Veillez à ce que le paillage soit régulier pour éviter aux mauvaises herbes de pousser. Pensez également à bien dégager le collet en laissant de l’espace à la base de la plante. Cela évite de créer trop d’humidité qui pourrait la faire pourrir.

Attention : certains légumes n’aiment pas être paillés. C’est le cas de l’ail, de l’oignon et de l’échalote.

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4. Quand réaliser le paillage de son potager ?

Le printemps et l’automne constituent les 2 périodes principales pour pailler son potager.

En automne, avant les premières gelées, disposez une couche de paillis pour protéger les plantes du froid et éviter le lessivage des sols. Ce paillage hivernal sera retiré une fois les risques de gelées écartés afin de laisser le sol se réchauffer.

Au printemps, vers le mois de mai, paillez à nouveau pour empêcher les mauvaises herbes de pousser. Durant l’été, ce paillage gardera aussi la fraîcheur au sol. N’hésitez pas à le compléter ou à rajouter une épaisseur si le paillis s’est trop décomposé.

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1. Ajoutez des feuilles d’ortie dans le trou de plantation

Les feuilles d’ortie sont très riches en minéraux. Ajoutées au fond du trou de plantation, elles vont libérer des nutriments, et notamment de l’azote, qui seront captés par les racines de la plante. Elles agissent comme un fertilisant et assurent un bon départ de croissance à vos tomates.

Pour réaliser cette astuce, récoltez quelques feuilles d’ortie fraîches et hachez-les grossièrement. Ajoutez une poignée de feuilles hachées au fond du trou de plantation. Remettez un peu de terre puis plantez votre pied de tomate.

2. Coupez les feuilles du bas

Les feuilles du bas sont souvent les premières à jaunir. En contact avec la terre, elles subissent aussi les attaques de maladies, comme le mildiou, qu’elles peuvent ensuite transmettre à la plante entière.

En coupant les feuilles du bas, vous protégez donc vos tomates des maladies. Cela garantit aussi une bonne circulation de l’air et un meilleur mûrissement. Les rayons du soleil passant plus facilement, les tomates grossissent plus vite et arrivent à maturité.

Contentez-vous seulement de couper les feuilles du bas. Un effeuillage trop sévère peut nuire à la croissance de la plante et au développement des fruits.

3. Arrosez au purin d’ortie

Le purin d’ortie est un excellent fertilisant et un engrais 100% naturel. Grâce à sa richesse en nutriments et en azote, il stimule la croissance, renforce la plante et améliore sa résistance aux maladies. Il éloigne même certains parasites comme les pucerons et les mouches blanches (aleurodes) de la tomate.

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Pour avoir de plus grosses tomates, utilisez-le comme eau d’arrosage, directement au pied de la plante. Il s’utilise dilué à hauteur de 10% (soit 10 L d’eau pour 1 L de purin). Arrosez au purin d’ortie 2 à 3 fois/semaine maximum.

4. Disposez un paillage au pied des tomates

Installé dès la plantation, le paillage maintient l’humidité dans le sol. La tomate appréciera grandement cette fraîcheur en été ! Ainsi, elle souffre moins de la chaleur et se développe davantage.

De plus, le paillage évite la pousse des adventices (mauvaises herbes) et permet de réduire les apports en eau. Enfin, il conserve un sol riche en protégeant du lessivage lié à la pluie.

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Nous vous conseillons d’utiliser de la paille, du BRF (bois raméal fragmenté) ou les tontes de gazon. Ce sont d’excellents paillis pour les tomates.

Disposez une couche d’au moins 15 cm au pied de la plante que vous renouvellerez en cours de saison si nécessaire.

5. Plantez du basilic à proximité

Certaines plantes peuvent être cultivées en association. C’est le cas de la tomate et du basilic. Plantée à proximité, cette herbe aromatique semble stimuler la croissance de la tomate, sans gêner son développement.

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De plus, son odeur forte éloigne les nuisibles et protège des maladies comme le mildiou.

Enfin, en associant tomates et basilic, on obtiendrait des fruits plus goûteux. Alors pourquoi s’en priver ?

L’aloès vera est habitué à des climats désertiques. Lui donner trop d’eau fera pourrir les racines et, éventuellement, les tiges. Pour savoir quand l’arroser, c’est très simple! Enfoncez votre doigt d’environ 1 pouce dans la terre. S’il ressort sec, c’est que votre plante doit être arrosée. Si elle est en pot, bien important de permettre à l’eau de s’égoutter. L’hiver, la plante tombe en dormance et vous n’avez pas à l’arroser, ou très peu! 

2) Ensoleillement 

Pour que l’aloès vera pousse, ça lui prend du soleil, beaucoup de soleil! À l’intérieur, tentez de l’installer près d’une fenêtre orientée plein sud. Si cela n’est pas possible, elle réagit très bien à la lumière artificielle. Si vous la transférez à l’extérieur durant l’été, acclimatez-la graduellement au soleil pour éviter de brûler les feuilles. 

3) Terre

Puisque le sol ne doit pas être gorgé d’eau, il faut utiliser une terre qui se drainera facilement. Vous pouvez l’acheter au commerce, ou encore la préparer vous-même! Mélangez de la perlite, du sable et du terreau ordinaire et obtenez un sol parfait à moindre coût

4) Engrais

De façon générale, l’aloès vera n’a pas réellement besoin d’engrais pour bien pousser. Toutefois, lorsqu’elle est dans la saison où elle pousse (du printemps à la fin de l’été), vous pouvez lui donner un peu d’engrais. Priorisez l’engrais naturel plutôt que chimique, surtout si vous prévoyez utiliser le gel pour votre peau! 

Psstt: pour faire votre propre gel maison d’aloès vera, c’est par ici!